• LES PORTS DU MAROC

    Article publié en 1952 par Joël de Cazanove

    MAROC PRESSE

     

    Pour détourner les Grecs des rivages de l’Atlantique où Hannon , héros du fameux périple  , inaugura avec le Sénégal , le plus fructueux des trafics , celui de l’or, les Phéniciens assuraient qu’au-delà des Colonnes d’Hercule , les navigateurs couraient les plus grands dangers car ils s’aventuraient , disaient –ils , « sur une mer inaccessible ». La suite de l'article


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  • Joël de CAZANOVE va vous faire le récit de son voyage , en autocar , de Casablanca à TAFFRAOUT , via TIZNIT.Vous allez découvrir des personnages hauts en couleur,tout cela écrit dans un style imagé. Lire l'article

    Articles parus dans "MAROC-PRESSE" en Février 1951


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  • Maroc sur Annuaire Tous les Blogs

    AccueilLes six MAROCS

     On connaît au moins six MAROCS dont chacun se flatte d’être le seul authentique :

    1.       Moyen Atlas

    2.       Bassin du Sebou

    3.       Vastes bleds du centre-ouest

    4.       Vallée de l’ATLAS

    5.       SOUS

    6.       Oriental

     

    Chaque grande région naturelle se distingue en effet par une profonde originalité. Mais l’empire Chérifien possède un univers plus original encore, formé de deux îles, d’un petit port, d’une plage et de quelques dunes. C’est Mogador, plus qu’un site, un monde à part. Lire la suite de l'article

     


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  • AccueilMogador

     

     

    I   Théodore CORNUT

     

    On ne va pas à Mogador pour dépister l’aîné des «  vieux marocains », ct émule du dernier « cuirassé de Reichshoffen », que la presse parisienne mobilisait tous les ans à la saison des serpents de mer. On vient plutôt y goûter une certaine douceur de vivre, entretenue par un climat, une ville et des gens également avenants .SOUEIRAH éclaire t’elle de ses reflets  l’âme de ses habitants ? LIRE L'ARTICLE


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  •  

    Le CHELLAH

    Les mystères marocains

     

    I  Dans les bosquets  sacrés de RABAT

     

    A l’époque où il méritait encore son nom, l’océan Pacifique libérait en cette saison, un énorme serpent, dont chacun pouvait dire, après le poète : « Le flot qui l’apporta, recule, épouvanté ».Le monstre en question n’a d’ailleurs jamais mangé personne ; mais, pendant les grandes vacances, il faisait gémir harmonieusement la presse. C’était le bon temps !Lire l'article

     


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